Moi avec Philippe Cloutier du Bloc
Avant de commencer, je veux bien spécifier que je suis militant du Parti Québécois, je ne suis pas un bénévole enregistré, donc je ne suis en rien lié pour exercer mon militarisme.
Avant que la campagne pour les élections ne commence le 16 aout 2018. Je me suis présenté dans un évènement avec une affiche de Justin Trudeau sur le toit de mon véhicule et quelque jour plus tard avec une autre affiche dénonçant La Presse. Disons que ce n'était pas mon meilleur coup, car je représentais en quelque sorte le Parti Québécois. Ça na pas été très long que les journalistes de La Presse voulaient une entrevue. J'ai refusé, car je savais que cette entrevue aurait servi de propagande contre le Parti Québécois.
Que voulez-vous je suis quelqu'un qui à beaucoup de causes à coeur, comme la photo ci-dessus lors des élections fédérales en 2014, j'ai décider à ma façon d'appuyer le Bloc Québécois.
Lorsqu’on se fait intimider, doit-on garder ça sous silence?
Comme je suis un militant très actif , Mon véhicule est lettré de À à Z Parti Québécois , je sillonne les rues de Longueuil, Brossard, Montréal et même Rosemont, je n'ai jamais fait l’objet d'aucune plainte. J’ai rencontré un nombre impressionnant de gens à qui j'ai vanté les mérites du parti Québécois, j'ai fait changer d'avis beaucoup d'indécis, j'ai même envoyé des gens faire du bénévolat.
Il est vrai que j'ai été beaucoup plus actif dans le quartier Rosemont, oui exactement où Québec Solidaire est aussi très actif. Je n’ai pas vraiment d’itinéraire précis, je fais des aller-retour entre Pie-IX et Iberville et la plupart du temps je me stationne au coin de la 10 Ave et Masson.
L'intimidation des policiers a commencé, le mardi 23 septembre vers 5h23 pm. J’étais stationné exactement à cette place, j’ai eu la surprise de voir arriver un autobus de Québec Solidaire, (photo ci-dessous) elle s'est stationnée proche de la 9 Ave, l'autre côté de la rue à 175, 200 pieds.
Sans même me douter qui y avait un rassemblement de Québec Solidaire pré-élections dans un bar à 200 mètres plus loin, les policiers étaient déjà sur place depuis au moins 1h30. Je me posais la question à savoir pourquoi leurs présence, ils m’avaient déjà observé tranquille dans mon véhicule, même qu’ils semblaient amusés par ma présence.
J’ai pris deux photos discrètement de l’autobus pour la partager sur Facebook. Moins de 10 minutes plus tard, une policière vient me voir ainsi que son collègue à la droite de mon véhicule pour me dire qu’il y a eu plusieurs plaintes, comme quoi je prenais des photos à l’intérieur du Bar et je voulais y pénétrer.
J’ai effectivement avoué à la policière que j’ai pris 2 photos avec mon téléphone à l'intérieure de mon véhicule, mais ou était le mal ? n'oubliez pas, j’étais à peu près 175, 200 pieds. La policière me demande mes papiers , je lui remets et elle repart à son véhicule
Durant ce temps je sors de mon véhicule pour aller à la rencontre de son collègue,, je lui explique c’est par hasard que j'étais sur place. Les policiers m’avaient très bien vu avant que l’autobus arrive, s’ils m’avaient demandé de m’éloigner, ça m’aurait fait plaisir et j’aurais été me stationner à une autre place.
À la place, ils me disent qu’ils ont reçu plusieurs plaintes de gens,, je dis, que c’est des gens de Québec Solidaire, ils me répondent que non, personne du groupe. Ben sincèrement je sais que c’est de la boulchit et c’est directement de l’intimidation fait par les policiers et Québec Solidaire, car j'étais bien assis dans mon véhicule bien tranquille.
Le Jeudi 27 septembre 12h30, je vais au dépanneur Provisoir comme à l'habitude me chercher un muffin et café non loin du local de Québec Solidaire. En sortant du dépanneur, j'ai remarqué un groupe de gens sur le coin de la rue qui m'observaient attentivement.
J'ai fait ma transaction à 12h30 exactement, je suis sortie, j'ai mangé mon muffin dans mon véhicule et je suis reparti vers 12h35.
Québec Solidaire à passé l'appelle au service 911 à 12h37, soit à peine 2 minutes après avoir terminé de manger.
À 1h06 pm, je me fais intercepter, pour soit disant ne pas avoir mis mon clignotant, 29 minutes plus tard après l'appel passé pas Québec Solidaire.
J'explique au policier que je l’ai mis, il me dit, oui, effectivement vous l’avez mis, mais pas pour changer de voie. Je lui explique qu’il n’a pas deux voies, que je me suis seulement un peu tassé pour tourner dans le stationnement, que mon but n'était pas de me stationner.
Quelqu’un seconde plus tard il change de direction et il commence à me poser des questions en me disant: je ne te cacherais pas que j’ai entendu parler de toi,, il me demande si je suis agressif, si je parle fort avec les gens, selon lui il y a des plaintes de cette nature.
Voici la transcription de la conversation, je garde la vidéo pour la déontologie policière.
Voici un bout de la vidéo, là où le policier me reproche une infraction
1- Le policier : Bonjour, ça va bien ?
2- Moi : Oui très bien et vous ?
3- Le policier : oui
4- Le policier : Hey quand vous avez tourné et vous avez faite votre changement de voie, vous avez oubliez votre clignotant, vous l'avez mis , mes pas heuu
5- Moi : J'ai pas eu connaissance de ça
6- Le policier : Dans l'fond...
7- Moi : je vais regarder ça, mais j'ai, j'ai pas eu connaissance, j'comprend pas! quand j'ai tourné ici vous dites ?
8- Le policier : Oui quand vous avez fait votre changement de voie
9- Moi : Ok pour aller dans la voie de stationnement, c'est ça que vous que vous m'dites ? Ok mais il n'y avait pas de ligne, je comprend pas!
10-Le policier : Il n'y a pas de ligne, quand...
11- Moi : ah ok ok ok, j'comprend là
12- Le policier : Quand vous tournez à gauche ou à droite, le code de sécurité routière dit que vous avez l'obligation d'aviser les gens à l'arrière,, vous êtes propriétaire du camion ?
13- Moi : Oui
14- Le policier : Ok je vais venir, ça sera pas long
15- Moi : Ok c'est bon!
(Portez une attention spécial, la tactique du policier, il me fait miroité la chance d'avoir simplement une avertissement) ( Le pourquoi que je réponds aux multiple questions)
17- Le policier : On vous demandera pas pour qui vous votez!
18- Moi : Non hein! là tu va me donner une contravention
19- Le policier : Ben, je vous ai dit que vous avez faite une infraction, à date , on en est là, là, c'est certain que vous en avez commis une là
20- Moi : Je suis quand même un bon conducteur
21- Le policier : Vous avez un bon dossier de conduite vous ?
22- Moi : Oui, j'ai un bon dossier là, oui jai un bon dossier
23- Le policier : Un bon dossier ou un bon dossier de conduite ?
24- Moi : Oui j'ai un bon dossier de conduite
25- Le policier : De conduite, est-ce que vous avez un bon dossier criminel ?
26- Moi : Heu, v,la 18 ans
27- Le policier : Ah Ok, 18 ans de tranquillité
28- Moi : De tranquillité, effectivement
29- Le policier : À cette époque là, vous étiez connu pourquoi, , quel genre de délit ?
29- Moi : Ça fait longtemps, là, j'ai fait des vols ( Pour plus de détails : de 18ans à 21 j'étais un tannant, dernière arrestation à 33 ans, chicane de couple, aujourd'hui j'ai 51 ans)
30- Le policier : Est-ce que vous travaillé pour le parti Québécois ?
31- Moi : Oui! ( depuis 4 mois je militant)
32- Le policier : C'est quoi votre mandat aujourd'hui ?
33- Moi : je m'en viens sur Masson
34 -Le policier : Ok , Ok, vous..
35- Moi : Oui, c'est ça
36- Le policier : c'est eux autres qui vous demande ça ou c'est vous qui....
37- Moi : Non, c'est moi
38- Le policier : C'est de votre plein gré ?
39- Moi : Oui c'est ça
40- Le policier : , vous travaillez dans quel domaine vous ?
41- Moi : Je suis dans le lettrage
42- Le policier : Ah ok vous travaillez dans le lettrage, ah ok vous poser ça sur le autos
43- Moi : En plein ça!
44- Le policier : Ça , ça s'arrache et ça fait pas de ...
45- Moi : Non, non, non, c'est ça, c'est pas permanent
(Voici exactement la raison pourquoi il m'a intercepté)
46- Le policier : non, non, je comprends, je vous cacherais pas également que nous avons reçu des appels au 911 avec votre description...
47- Moi : Ouin ça je vais vous dire, ça vient de QS, c'est clair, c'est plate mais je m'en viens icitte, il ne sont pas content.
48- Le policier : ça militer, ce n'est pas ça le problème, mais..
49- Moi : J'agit démocratiquement, regarde là..
50- Le policier: Ça militer, je pense que ce n'est pas ça le problème..
51- Moi : j'agit démocratiquement heuu
52- Le policier : Ça faisait mention de quelqu'un qui criait après des gens, qui s'engueulait avec des gens
53- Moi : ho Boy, c'est parce que j'ai rien fait de ça!
54- Le policier : non mais , ça se peut que vous avez eu un conflit avec quelqu'un sur la voie public
55- Moi : non, non
56- Le policier: c'est pour ça que je viens éclaircir ça avec vous ..
57- Moi : Non, absolument pas, non, non, mais je comprend pas pourquoi vous avez ça dans votre heuu, c'est quoi, vous avez reçu une carte d'appel ?
58- Le policier : Oui , on a reçu un appel au 911
59- Moi : Est-ce que je peux avoir la carte d'appel ?
60- Le policier : Oui, je peux vous laissez le numéro de la carte d'appel
61- Moi : Je ne comprend pas que tu me dise que je suis agressif ou que je crie
62- Le policier : C'est pas ça que je dis, on a reçu cet appel là!
63- Moi : Oui mais on sait de qui ça vient là, de qui veux tu que ça vienne ? je suis icitte et QS essaie d'avoir heuu, ça fait 1 mois que je suis icitte, ça fait 4 mois que mon camion est lettré comme ça!
64- Le policier : Dans Rosemont ou vous faite ailleurs aussi ?
65- Moi : Je fais , Mercier, Rosemont, Longeuil, Brossard,
66-Le policier : heu, la plupart du temps est-ce que c'est pacifique ou heu... avez-vous eu des conflit avec les gens ?
67- Moi : Jamais! absolument pas, jamais! jamais, jamais
67- Le policier : Il y en a qui sont toujours un peu plus impliqué que d'autres, je dis pas vous là, heuu..
68- Moi : Non,
69- Le policier : qui vous confronte ?
70- Moi : jamais, non jamais! je parle avec le monde , je suis très pacifique, quelque fois je me stationne au côté de la pharmacie, heu,, au coin de la 10 Ave et Masson, je parle avec les gens et ils sont ben coll avec moi (Je parle avec les gens, quand il viennent me voir à mon véhicule)
71- Le policier : ah ok!
72- Moi : c'est ça dans l'fond tu viens m'intercepter pour ça?
73- Le policier : Non, non, je vous ai vu, vous avez commis une infraction et je viens vous voir, en même temps c'est vrai qu'on a reçu des appels vous concernant, mais je sais pas que c'était vous! (C'est ça, mon véhicule, n'étais pas assez lettré)
74- Moi : Oui mais c'est quand même un drôle de hasard que tu viens me voir et tu me dit que j'ai fait une infraction, là tu me dis que ta reçu un appel, on s'entend tu pour dire que c'est un drôle de hasard, hein ?
75- Le policier : C'est pas un hasard,
76- Moi : Je sais comment ça fonctionne
77- Le policier : Que voulez-vous dire ?
78- Moi : Selon moi, tu m'a surement vu et te dit ha c'est lui ça
(il change de ton)
79- Le policier : Ah c'est lui et vous avez fait une infraction
80- Moi : Une infraction c'est discutable, je suis dans la voie heu..
81- Le policier : Vous avez fait une manoeuvre, changer de direction, donc a partir de ce moment là, faut aviser les gens à l'arrière, j'espère que je ne vous apprend rien la-dessus là ?
82- Moi : Non!
83- Le policier : Ok :
84- Moi : C'est l'article de loi ou j'ai pas de point d'enlever ?
85- Le policier : Ça on va le voir ensemble, Ok!
86- Moi : Ok c'est beau
Pour être polie et ne pas le froisser , j’ai répondu à ses questions, mais pourquoi m’arrêtes-tu exactement?
Je suis débarqué pour aller à sa voiture et lui est dit que ça ne fonctionnait pas son affaire,, ce n’était pas correct d’avoir agit ainsi, je lui est dit qu’il venait de me faire un coup de cochon!
L'agent Paton Ian-Thomas matricule 5686 et Gamache Stéphanie matricule 6794
Je n’avais fait aucune aucune infraction et le policier le savait très bien, j'étais arrivé à l'entré et j'avais seulement la moitié de mon véhicule sur la voie de stationnement quand j'ai actionné mon clignotant. Je me stationnait pas, je tournais pour entrer dans le stationnement.
Je lui est alors dit, là je sais ce que tu va faire, tu vas alerté tous tes collègues pour leur dire de porter une attention particulière sur moi. Pourtant je suis toujours dans mon véhicule, je ne sors jamais, sauf pour mettre de l’essence et aller au dépanneur. Je n’ai jamais été agressif ou même parlé fort à qui que ce soit et qui plus, les gens qui m’abordent, sont la plupart du Parti Québécois.
Il me remet quand même une contravention de 169$ .
J'ai demandé au policier s’il avait une carte d’appel (un appel au service d'urgence 911), il m’a répondu oui,, qu’il était pour ma remettre. Il ne m’a jamais donné le numéro d'appel. Je lui est dit, que tout ça venait de Québec Solidaire, que ça ne fait pas leur affaire que je sois dans Rosemont à militer pour le PQ.
Québec Solidaire m’ont surement vue passer devant leur bureau et ils se sont surement dit, ah non pas encore lui! Alors pourquoi le policier à prétendu que j'étais agressif, d’où ça pouvait bien venir ? Évidement les policiers ont été rencontrés les membres de Québec Solidaire juste avant mon interception et ils ont surement beurré épais et disant que des mensonges à mon égard.
Un peu plus tard vers 4h24, j’ai croisé un superviseur du SPVM, je lui est demandé de venir me voir, il m’a dit, je fais le tour et je viens vous voir. Vers 5h20, soit une heure plus tard, le même superviseur a passé au côté de moi et a tourné au coin de la 10 Ave , au lieu de se mettre juste devant moi.
Sauf après lui avoir parlé, il m'a avoué qu'il ne venait pas pour moi, il venait pour donner un constat d'infraction à une dame stationnée à une borne électrique, donc clairement il savait qui j'étais, pourquoi m’ignorer ?
J’ai dû aller le voir pour lui parler, mais il ne voulait rien savoir. Il m’a simplement dit de contester la contravention et qu’une carte d’appel n’existe pas! Pourtant dans l’enregistrement vous pouvez très entendre le policier dire qu’il en existe une.
La morale de cette histoire peut importe, même si j’avais mis mon clignotant pour supposément changer de voie et m’avait donné une autre contravention pour ne pas avoir actionner mon clignotant en en tournant dans l’entrée du Maxi, tout ce qu’il voulait, c’était venir me voir, il avait besoin d'un motif. L'appel n'a pas été retenu, parce que si ça avait été le cas, le policier derrière aurait sans aucun doute actionné ses gyrophares, donc il me suivait depuis un pti bout.
Ça lui prenait un maudit bon motif, il s'en ai inventé un!, une infraction au code de la sécurité routière, comme mon beau-frère policier m'a déjà expliqué, quand un policier ne trouve pas de motif , il trouve un, il s'en invente une, peut importe.
Le 28 septembre, en après-midi, les même policiers du 44 qui me font de l'intimidation, passe au côté de moi, le conducteur l'agent Paton. Ian-Thomas me fait un large sourire et m'envoie la main.
Toujours le 28 septembre, un peu plus tard dans la journée, je tourne de nouveau au Maxi sur la rue Rosemont. Si vous regardez bien la vidéo, juste avant de tourner , le 4 ièm véhicule derrière, c'est les mêmes policiers, ceux qui m'a émis une contravention et c'est le policier Paton Ian-Thomas qui m'a envoyé la main.
C'est clair qu'avec mon affiche sur le toit de mon camion, il m'a vu de loin tourné. C'est aussi clair qu'il en arrière de moi pour m'intimider, il sait très bien que je vais être nerveux, à cause de la contravention reçue non méritée.
Regardez bien comment il cherche à m'intimider en avançant très près de moi, comme pour me pousser à avancer, comme je n'ai aucune confiance et j'ai peur d'avoir une autre contravention, je ne suis pas sûr si j'avance ou j'avance pas.
On peut très bien se rendre compte qu'avec cette vidéo, le policer s'en vient directement dans la même allé derrière moi, il n'était pas là pour faire une ronde d'inspection dans la cour du Maxi.
Le 1er octobre, la journée des élections, à 1h23 pm, j'aperçois dans mon rétroviseur un petit véhicule noir derrière qui me suit. Il y a deux hommes à l'intérieur, je me range sur le côté pour le laisser passer, le véhicule s'immobilise derrière moi, le passager ouvre sa portière en toute vitesse et d'un pas menaçant il se dirige vers mon véhicule.
Je ne prends aucune chance, je repars et toujours les hommes me suivent, j'avais peur de faire mes arrêts aux feux de circulation, car j'avais peur qu'ils sortent, mais non, ils restaient dans leur véhicule. À partir de ce moment, je trouvais leurs façons d'agir très bizarres.
J'ai sortie au feu rouge, là ou il y avait beaucoup de monde pour les photographier avec mon téléphone. J'ai essayé de prendre une photo, mais ma caméra était tourné vers mon visage, les deux hommes ont sortis du véhicule et me disant qu'ils étaient de la police, de me ranger sur le côté de la rue plus loin.
Je n'en croyais pas un mot, j'ai embarqué dans mon véhicule et j'ai signalé 911, j'explique que je suis suivi par deux hommes qui se sont identifiés comme policiers, mais sans jamais montrer leurs plaques et nommer leurs corps de police. Comme je n'ai aucune confiance et que j'avais peur, je me suis dirigé vers le poste de police 44.
Une fois à l'intérieur de la cour du poste de police 44, ils sont toujours derrière moi,, c'est là que j'ai compris qu'ils étaient réellement de la police. Je sors paniqué de mon véhicule et je dis au policier ta bacht, ta bacht, tu ne m’as pas montré ta bacht!. C'était pas réel, je ne comprenais pas, voyons, voir si je suis agressif, ce que je comprends c'est que Québec Solidaire à téléphoné les policiers plusieurs fois.
Le policier en civil qui s'est identifié comme un Fournier matricule 1320 de la Sureté du Québec, me prend par le bras , me donne une claque sur la main, pour essayer de faire tomber mon téléphone, c'est à ce moment que je lui demande pourquoi il est violent avec moi.
Il me répond, parce que je ne sais pas si tu es armé, effectivement je me promène avec un véhicule lettré Parti Québécois, je suis peut-être armé. À ce moment-là je suis paniqué, j'ai le souffle court, je suis aussi fâché, je ne comprends pas ce qu'il se passe, c'est complètement irréel.
Le fait de passer devant le local de Québec Solidaire, je n'arrête pas, je ne fais pas de l'intimidation, je ne passe pas devant une résidence, c'est un local, je n'ai jamais eu de conflits avec QS.
Une fois calmé, j'ai dit aux policiers, je sais d'où proviennent les plaintes, ils me répondent d'où tu penses ? j'ai dit, de Québec Solidaire, il me répond, effectivement! je dis, je n'ai jamais en aucun cas parlé avec les membres, je ne les connais pas, comment on peut dire des choses pareilles ?
Il me répond Vincent Marissal à peur de toi, il ta vue dans sa cour chez lui, sa femme à eu peur et elle à pleuré. Voyons, c'est n'importe quoi, si réellement Vincent marissal m'avait vu dans sa cour, il aurait porté plainte pour ce genre de chose, là les policiers auraient eu un motif pour m'arrêter bien avant la dernière journée des élections.
Les policiers de la SQ disent, tu nous a pas laissé le temps de te montrer notre plaque, ma réponse : Quand tu t'identifies comme policier et surtout tu es en civil, c'est la première chose que tu dois faire, montrer ta plaque. Imaginez-vous quand j'ai arrêté pour les prendre en photo, si j’avais vraiment été dangereux et si j'avais eu une arme.
Quand le policier me demande rendu au poste de police si je suis armé, ce n'est que du cinéma, donc clairement les policiers savaient très bien que j'étais pas dangereux.
Voici la vidéo au poste de police 44
Quand vous attendez, pardons vous êtes qui vous! c'est le policier qui réponds à un travailleur qui faisait de l'aménagement paysagiste, celui-ci lui disait qu'il n'avait pas le droit de fouiller mon véhicule. Le policer répond très agressivement à ce travailleur, même qu'il lui a demandé de s'en aller et de déplacer son camion.
1- Moi : Ta bacht, ta bacht, tu me là pas montré, tu me dit que tu est de la police, tu m'a pas montré ta bacht, je suis avec le 911 là!
2- Le policier : Oui, pas de trouble
3- Moi : Y'é trop tard, j'ai aucune idée ce que tu as contre moé
4- Le policier : Là premièrement, là premièrement, tu garde tes mains sortie de tes poches, tu m'entend tu ?
5- Moi : Ben oui hein
6- Le policier : La tu garde tes mains icitte (il me donne une claque sur la main, pour faire tomber mon cellulaire)
7- Moi : Pourquoi tu est violent avec moé
8- Le policier :Parce que je sait pas si tu est armé, tu mets tes mains icitte
9- Moi : Voyon donc, je suis armé!
10- Le policier : Gar t'écoute pas quand on te parle
L'autre policier sort sa plaque, pour la première me montre sa plaque
11- Moi : tu me là montré là là
12- L'autre policier : ahhh
13- Moi : tu me là montré là
14- Le policier : Parfait ok, là tu va être fouillé
15- Moi : Ben oui fouille moi
16- Le policier :Ok tu comprend ça ? ça fait plusieurs fois que tu passe devant les bureaux là-bas, tu joue au gros bras et tu fait de l'intimidation, - garde tes mains sur le véhicule
17- Moi : Voyons donc , je joue aux gros bras, de quoi tu parle, aux gros bras
18- Le policier : Tu reste tranquille, sinon on va te mettre les menottes
19- Moi : Même si tu me mets les menottes, je te demande pourquoi tu dit, que je joue aux gros bras ? je me promène avec mon char, ça fait 3, 4 mois , je joue aux gros bras! je suis du Parti Québécois là!
20- Le policier : Tu peut-être du parti que tu veux et tu peut-être agressif pareil
21- Moi : Ben oui, qui sait qui te dit que j'étais agressif ?
22- Le policier : T'es agressif avec nous autres
23- Moi : Chu pas agressif tu me montre pas ta plaque!
24- Le policier : Oui ont te la montrent
25- Moi : Tu me la pas montré
26- L'autre policier : Regarde, on ta demandé de te tasser, tes partie, tu sait!
27- Moi : Non, non, non
28- L'autre policier : Tu m'a donné la possibilité de le faire là!
29- Moi : Tu me dit, je vais te coller pour entrave
30- L'autre policier : Tantôt on te, là
31- Moi : Tu m'a pas montré ta plaque, excuse-moé là
32- L'autre policier : Mais, oui, crime tes partie!
33- Moi : J'ai toute ça sur les enregistrements ( j'avais deux caméras, sauf que celle à l'arrière ne fonctionnait pas)
34- L'autre policier de la SQ : Pas de problème, pas de problème
34- Le policier : Là tu va garder tes mains sur le véhicule
35- Moi : J'ai rien à me reprocher
36- Le policier : Je veux savoir si ta une arme, dans le véhicule ?
37- Moi : Voyons donc?
38- Le policier : Ta tu quelque chose, ta tu un couteau ou des armes ?
39- Moi : Voyons donc , j'ai pas de couteau
40- Le paysagiste : Vous n'avez pas le droit de fouiller son véhicule
41- Le policier de la SQ répond au paysagiste : Pardon, vous êtes qui vous ?
42- Moi : J'ai pas de couteau, j'ai rien
43- Le policier : Garde tes mains sur ton char, c'est pas ton avocat lui , je pense? (il parlait du paysagiste) ben , non est tu avocat toé, quelqu'un ?
44- Le paysagiste : Ben, non, mais je sais que vous avez pas le droit de fouiller son véhicule, ça je le sait!
45- Moi : Hey
46- Le policier : ben, là, loi ce que tu sait là... mais là ta pas le droit, tu décolisse!
47- Le paysagiste : Ben, non je fais le terrain iciite
48- Moi : Hey, j'aimerais ça avoir ton nom, tes informations (je demande cela au paysagiste)
49- Le paysagiste : moé, je fait le terrain ici, c'est mon gazon
50- Le policier : Garde tes mains sur le char!
51- Moi : He, j'ai rien faite (sic)
52- Le policier : Garde tes mains sur le char! tes agressif, ta été agressif avec moé, tu ma crié après, tes partie
53- Moi : Le grand, je ne savait pas qui tu était!
54- Le policier : Je me suis identifié
55- Moi : Non, non ,non tu t'es pas identifié
54- Le policier : Oui, Oui
55- Moi : Non, non ,non tu t'es pas identifié avec ta plaque mon homme!
56- Le policier : Je me suis identifié, tu garde les mains sur le char
57- Moi : Non, non ,non tu t'es pas identifié avec ta plaque
58- Le policier : C'est la police là, c'est pas pour rire
59- Moi : Ça fait 4 mois que je milite
60- Le policier : Oui, il y a une différence entre milité et harceler
61- Moi : J'ai le droit de passer sur la rue Masson
62- Le policier : il y a une différence entre milité et harceler, garde tes mains sur le char!
63- Moi : Regarde les films sur la caméra, je en me suis jamais arrêté devant le partie
64- Un policier du SPVM : Là ques-ce qu'on va faire nous ? (La question est posé au policer de la SQ Fournier)
65- Le policier : Ben là c'est parce que monsieur n'arrête pas de passer devant le local de Québec Solidaire
66- L'autre policier de la SQ : ( au paysagiste, , là je t'ai dit d'embarquer dans ton char, tu entend tu ce que je te dis là, tu te mêle de ce qui ne te regarde pas, comprends tu ce que je te dit là, va t'en là bas, on te demande juste de t'en aller d'icitte, parce que ça me tente pas de (sic)
Le paysagiste à été stationné son véhicule au bout de la cour du SPMV.
67- L'autre policier de la SQ : Gar, gar, écoute moé, viens ici, tantôt ont ta juste demandé de te tassé pour te jaser
68- Moi : Ouin, mais tu m'a pas montré ta plaque
69- L'autre policier de la SQ : J'ai pas eu le temps , je suis sortie du char, écoute moé, je sort du char, je dis regarde je suis policiers de la Sûreté du Québec, je dis, tasse toé , ta dit, ok c'est beau (mais je n'ai pas dit ça) Une fois qu'on te le montre , faut pas que tu soit agressif, (aucunement je n'ai été agressif) parce qu'on va se parler, on va se parler
70- Moi : Chu pas agressif, c'est vrai que je suis capable de lever la voix, je suis pas agressif, â fait 4 mois que je milite!
71- L'autre policier de la SQ : Bonnn.. on comprend toute ça!
70- Moi : Oui, je passe au côté du local, quand je passe au côté du local je regarde même dans sa direction ( le policier à fermé ma porte, il savait que j'enregistrais)
J'ai pris la bonne décision de me diriger vers le poste de police le plus proche, le policier Fournier était extrêmement agressif, à savoir que serait-il arriver si je m'étais arrêté la première fois quand je me suis stationné sur le bord de la rue Masson. m'auraient-ils mis une accusation de voie de fait, entrave ou même me donner une couple de claques sur la gueule. J'ai été intimidé sans toutefois m'accuser de quoi que ce soit.
Pourquoi est-ce que c'était des policiers de la SQ en civil dans un véhicule banalisé, que faisaient-ils à Montréal, d'ou venait-il exactement ce mandat, avaient-ils le droit, juridiction ? Je pense que Marissal s'est servi de ses petits contacts pour m'intimider, car je dérangeais avec mon véhicule lettré Parti Québécois.
Première interception, je prends 2 photos de l'autobus à 175 pieds, on vient me voir, on me dit que je veux entrer dans le bar faire le trouble. Deuxième interception, on invente une infraction au Code de la route et troisième interception fois on me dit que je fais du harcèlement , j'intimide jusqu'à aller dans cour de Vincent Marissal.
C’est un geste d'intimidation et clairement anti-démocratique venant de Québec Solidaire, mais surtout selon les dires des policiers, venant directement du député de Rosemont Vincent marissal.
J'ai porté plainte en déontologie, après vérification le policier Fournier m'avais pas donné le bon matricule. Mais avec les détails, la vidéo, l'appelle au service d'urgence 911, une gentille dame de la déontologie m'a expliqué que les informations entrent. Elle m'a aussi expliqué que c'étaient des policiers qui surveillaient Vincent Marissal. Le nom des policiers agressif c'est Maxime Fournier matricule 13495 et Dominik St-Pierre. À suivre...